Magic Keyboard pour iPad Pro : Avis rapide et touche Echap

J’utilise maintenant le Magic Keyboard depuis une dizaine de jours sur mon iPad Pro 11’. Je ne vais pas faire une revue complète, il y a des centaines de tests disponibles et vous devez en avoir vu passer déjà beaucoup trop.

Pour ma part, le Magic Keyboard a complètement transformé ma façon d’utiliser l’iPad, confirmant plus que jamais son statut de vrai ordinateur. Il convient parfaitement à mon utilisation : idéal pour saisir du texte et naviguer entre apps quand je travaille sur un article, je peux facilement ôter l’iPad pour une utilisation chill sur le canapé. La navigation avec le trackpad devient vite naturelle et complètement intégrée à iPadOS. Alors que l’utilisation à la souris semble un peu contre nature sur l’iPad, avec le trackpad on a l’impression qu’il a été pensé pour cette utilisation. Il tombe sous les doigts sans avoir à quitter le clavier. J’avoue qu’Apple a bien joué ce coup, sans dénaturer l’OS d’origine, ils ont réussi à ajouter quelques petites touches qui préparaient cette arrivée sans qu’on s’en aperçoive vraiment. Le clavier en lui-même est très agréable, solide, juste la bonne résistance pour des utilisations prolongées. Le rétroéclairage, en plus d’être pratique, donne un côté qualitatif et esthétique à l’ensemble. Le trackpad a un toucher très doux et précis ; les gestes deviennent vite naturels et la navigation dans l’interface de l’iPad est très proche de celle du toucher, chose que la souris ne parvient pas à reproduire aussi naturellement. Vous l’avez compris, je suis fan. Je peux comprendre les reproches que certains font : en particulier le poids, le fait qu’on ne peut l’ouvrir complètement et qu’il ne remplace pas vraiment un Smart Folio ou même le Smart Keyboard Folio. Tout cela est vrai, mais cela dépend aussi de votre utilisation. Je le considère presque comme un dock sur lequel je peux poser mon iPad pour travailler confortablement et l’enlever facilement quand je le souhaite.

Je lui trouve néanmoins quelques défauts. Mon grief principal concerne l’angle d’inclinaison de l’écran. Peu de testeurs ont relevé cela, je dois avoir une utilisation un peu particulière. Lorsque je suis assis, j’aime avoir l’écran un peu basculé vers l’arrière, voire très basculé vers l’arrière si je suis assis en hauteur et/ou avec l’iPad rapproché de moi. Dans les premiers jours d’utilisation, je n’arrivais pas à trouver une inclinaison suffisamment confortable par rapport à mes habitudes. C’est dommage, je pense que quelques degrés supplémentaires étaient possibles sans compromettre l’équilibre de l’ensemble, au moins sur la version 11’, l’iPad étant plus léger. Avec l’iPad sur ses genoux, assis dans un canapé comme actuellement, c’est mieux. Sur un bureau, il faut un peu éloigner l’ensemble.

L’autre point à relever est assez mineur mais devient évident dès les premières minutes d’utilisation. Le réflexe d’appuyer sur la touche Echap est naturel quand on utilise un clavier. Ici, ce geste tombe dans le vide (ou sur la touche #/@ qui est à son emplacement logique) : pas de touche Echap. Il existe cependant deux moyens de contournement pour remplir cette fonction.

Le premier est un raccourci clavier Cmd-. (Commande-Point). Malheureusement, ce raccourci a été pensé à l’origine pour les claviers QWERTY qui disposent du point en accès direct. Avec un clavier AZERTY, le raccourci est beaucoup moins facile car le point est la majuscule du point-virgule. Faire Cmd-Maj-; pour annuler est tout sauf naturel, donc inutilisable au quotidien.

L’autre possibilité est offerte par un nouveau réglage accessible dans Réglages > Général > Clavier > Clavier physique > Touches de modification. Ce réglage permet de spécifier ce que font les touches de modification (Verr. MAJ, Cmd, Option, Ctrl et Globe). Par défaut chacune fait très logiquement ce qu’elle doit faire : Cmd fait Cmd, Option Option, etc. Cependant, on peut les modifier et ô surprise, l’action « Echap » fait partie des choix pour ces touches. Quand on y réfléchit cette proposition est assez étrange, cela sent l’ajout de dernière minute pour compenser un oubli. Je vous conseille d’affecter l’action « Echap » à la touche Globe dont la fonction d’origine est de changer de clavier. Vous perdrez l’activation du sélecteur de clavier avec la touche Globe mais le sélecteur est facilement appelable par une séquence de touche (qui existe aussi sur Mac) : Ctrl-Espace. On s’y fait assez vite.

Fuji X100V : Simulations de film

Le contexte n’est pas idéal pour tester un nouvel appareil photo. Reçu une semaine seulement avant le confinement, je n’ai pu tester le X100V qu’une seule fois sur le terrain. Cette unique sortie a largement confirmé mes premières impressions en sortie de boite mais comme tout photographe en ce moment, mes photos se limitent désormais à illustrer cette période. Je ne vais pas partager tout de suite ces photos de confinement, je ne suis d’ailleurs pas certain qu’elles soit publiées ou publiables, on verra. Je profite surtout de ce temps ralenti pour faire des tests un peu plus spécifiques, à défaut d’utilisation en condition réelle.

Le rendu des couleurs des appareils Fuji est souvent mentionné comme principal critère de choix par ceux qui optent pour cette marque. Fort de son passé de fabricant de films argentiques, Fujifilm a très judicieusement utilisé son expertise pour proposer des simulations de ces principales pellicules dans ses appareils. Et le résultat est à la hauteur. Au fil des ans, la panoplie des simulations de film s’est étendue, Fuji les utilisant souvent comme argument marketing pour promouvoir les nouveaux appareils qui sont généralement les seuls à recevoir les nouvelles simulations. On se rappelle de l’arrivée du Classic Chrome, d’abord sur le X30 puis le X100T. Cette simulation a connu un succès immédiat, très populaire auprès des photographes de reportage ou de rue grâce à sa dynamique, ses couleurs légèrement désaturées sans être trop froides. Avec le X-Pro 3, le X-T4 et le X100V, Fujifilm introduit une nouvelle simulation un peu dans la même veine « vintage » mais en bien plus contrasté, le Classic Negative (Classic Négatif dans la doc en Français).

Il y a quelques semaines, Dimitri Lazardeux a publié une vidéo sur les simulations de film qu’il utilise et les réglages associés : Les couleurs Fujifilm – Mes réglages. Je vous conseille vivement de jeter un œil à sa chaîne YouTube car, au-delà des sujets toujours passionnants, Dimitri a un véritable talent didacticiel. Le ton, la voix, l’image et le montage en font l’une de mes chaînes photo préférées. Il décrit donc dans sa vidéo les 7 préréglages (les appareils Fuji permettent d’enregistrer 7 configurations de C1 à C7) qu’il utilise sur son X-Pro 3. Le logiciel étant identique sur le X100V, j’ai voulu reproduire ses réglages pour les tester, voir ceux qui me plaisent et les adapter à mes goûts.

Je vous livre les résultats de mes tests sur deux séries de photo avec des sujets assez différents (sans aucune retouche bien sûr). Les photos n’ont aucun intérêt, j’ai évidement été contraint de trouver des sujets dans la limite des 1km autour de chez moi. J’avoue que le Classic Chrome reste encore mon préféré, mais c’est peut-être par simple habitude de l’utiliser si souvent.

Et vous, quel est votre préféré ? Utilisez-vous ces simulations sur vos Fujis ?

X100T : Premières impressions

X100T : Premières impressions

Il y a un peu plus de trois ans j’ai ajouté un Fuji X100 à mon matériel photo, un achat qui allait changer ma façon de photographier. J’ai relu l’article que j’avais écrit alors sur mes premières impressions. Un article en trois actes : des agacements, des qualités et du plaisir. Trois ans après, le X100T vient le remplacer et pour cette revue des premières impressions il n’y aura plus que deux actes : des qualités et du plaisir.

Oui, finis les agacements de la première tentative de Fuji pour le lancement de la gamme X. Les mises à jour de firmware sur le X100 avaient déjà corrigé beaucoup de défauts, du moins ceux qui pouvaient l’être par logiciel. Il aura fallu attendre la seconde génération avec le X100S pour avoir un appareil accompli. Le X100T vient courroner la série avec quelques raffinements qui lui donnent la maturité du bel âge.

Au moment d’écrire cet article je me suis retrouvé un peu désamparé. Que pourrais-je dire qui ne l’a pas déjà été sur cet appareil ? Ajouter une un ènième revue des nouveautés ? Produire des images tests sous toutes les configurations pour démontrer ses performances ? Tout cela a déjà été fait et bien mieux que je ne pourrais le faire.

En réalité, j’ai plutôt envie d’être un peu plus organique, de vous parler de ressenti, de sentiments. Parce que la photo ce ne sont pas des chiffres alignés dans un tableau de caractéristiques techniques. Parce que la photo n’a pas d’autre dessein que de générer des sensations, le photographe, de chair et d’os, ne peut prétendre faire passer ses émotions avec une machine sans âme. Et justement, l’âme c’est ce que véhiculent les appareils Fuji X. Il y a avec ces appareils un attachement qui dépasse la simple performance technologique : on ne choisit pas un Fuji X seulement pour ses performances mais parce qu’il s'identifie totalement aux femmes et aux hommes qui les choisissent. Ils font partie de leur style de vie. Je ne prétends pas que ce phénomène est l’apanage de Fuji, mais Fuji a réussi à sortir des appareils qui collent avec leur époque. Lorsque le le X100 est sorti en 2011, il a tout de suite créé l’envie, tout simplement parce qu’il venait combler un désir qui existait chez les photographes, de façon totalement inconsciente, mais que Fuji avait su déceler avant tout le monde. Le désir d'un retour aux sources sans sacrifier les apports d'une technologie au sommet. Je fais partie de ces photographes, accrochés par la promesse que Fuji offrait avec le X100, et très vite conquis.

J'ai revendu tous mes appareils pour acheter le suivant cela n'a pa été le cas pour le X100. C'est dire à quel point j'ai un attachement particulier pour cet appareil : une histoire affective, un compagnon fidèle qui m'accompagne depuis plusieurs années dans ma découverte de la photographie de rue.

Mais revenons au X100T. Immédiatement, je retrouve mes marques, il est bien le petit-fils du X100. J'y retrouve aussi un peu du X-E2, en fait ce sont les qualités du X-E2 que je retrouve dans le corps du X100 : l'ergonomie enfin aux normes attendues, la réactivité, une mise au point manuelle efficace (grâce au choix de différents dispositifs d'aide), l'autonomie en hausse et plus généralement une impression d'appareil solide et fiable. Je ne parle pas de fiabilité matérielle, je parle de la confiance que l'on peut accorder à l'appareil en tant qu'outil pour photographier. Avec une réactivité et un autofocus enfin a la hauteur, je peux faire confiance au X100T pour prendre l'image telle que je le décide. Cela peut paraître anodin, mais ce n'était pas toujours le cas avec le X100 : quelques occasions manquées parce que l'appareil ne se "réveillait" pas assez vite ou bien faisait un focus aléatoire.

Le X100 manifestait sa présence envahissante autant par son look que par ses imperfections. Le X100T, lui, se fait complètement oublier. Il laisse la place au photographe et c’est bien la qualité ultime que l’on attend d’un appareil photo. Parfait.

Si je reprends la liste des griefs que je faisais au X100 (avec toutes les astuces nécessaires pour contourner ses défauts), plus aucun ne persiste. Tout ce que je n'aimais pas dans le X100 a été corrigé et amélioré dans le X100T. Alors qu'est-ce que je n'aime pas dans le X100T ? Quelques détails pour chipoter : la trappe de la batterie toute en plastique, la bague des ouvertures qui curieusement, est restée la même depuis le X100 et toujours aussi peu ergonomique (il faut réussir à mettre ces doigts au bon emplacement sur les deux ergots pour réussir à la faire tourner, pas facile) et c'est à peu près tout.

En réalité, mon seul reproche est peut-être juste le sentiment de ne pas avoir un nouvel appareil. En cela, le X100T se fait complètement oublier : il est juste l'instrument qui me sert à photographier, s'effaçant derrière la photographie. Cela ne veut pas dire pour autant que c'est un simple objet fonctionnel : je ne pourrai oublier que le X100 et maintenant le X100T m'ont apporté bien plus qu'un simple objet : le renouveau du plaisir de photographier. Pour cette raison, mon attachement à ces petits morceaux de métal et de plastique dépasse celui qu'on peut avoir pour un simple objet du quotidien. Je leur voue une véritable reconnaissance. Je les adore. Tout simplement.

J'espère ne pas trop vous décevoir avec cette revue si peu technique. Il m'accompagne depuis plusieurs semaines maintenant. Le plus simple est de montrer des images (les deux premières sont des JPG sortis du X100T avec le nouveau rendu Classic Chrome).

X100T-Chrome2

X100T-Chrome1

X100T-Port

X100T-Mur

X100T-Marches

X100T-Macro

X100T-Interdit

X100T-Icecream

X100T-Hotel

X100T-Hermione

De Canon à Fuji : le switch

Ce n’était pas qu’une impression. Il me semblait bien que quelque chose se passait. Imperceptible au premier abord, puis de plus en plus évident. J’ai switché. Goodbye Canon, Welcome Fuji !

ONA Lima : le Pérou des courroies photo

ONA-Lima-FeatureJe n’ai pas (encore) rencontré M. Shigetaka Komori[1]. Il est peu probable que je le rencontre un jour, mais si cela devait arriver, je me permettrais de lui donner un petit conseil sur la façon de mener sa société. Je lui dirais ceci : “Continuez à faire des appareils photo qui nous font rêver, mais de grâce ne tentez pas la diversification en vous lançant dans la maroquinerie”.

Fuji X-E2 : Premières impressions

Fuji-XE2C’est en 2010 que j’ai commencé ma plongée dans l’univers du X, je veux dire la gamme X de Fuji. Et j’ai très vite découvert que la taille et la performance, ça pouvait compter. Le X100 m’a apporté de nouvelles façons de photographier et sa discrétion m’a incité – et permis – d’explorer d’autres champs photographiques. Si le plaisir de photographier et la qualité du résultat étaient bien au rendez-vous (relire si besoin mes premières impression et mon test terrain), ce n’était pas sans une sensation d’un produit pas vraiment abouti. Des bizarreries ergonomiques et des performances décevantes ont terni l’image d’un appareil par ailleurs très séduisant. Il a fallu peaufiner les réglages pour compenser, se jouer des problèmes de fiabilité et attendre les mises à jour de firmware pour avoir enfin l’appareil qui était promis. Aujourd’hui, le X100 a gommé la plupart de ses défauts et on peut saluer Fuji pour la manière dont il a pris en compte les remarques de ses clients. D’ailleurs, c’est à ma connaissance un des seuls fabricants qui continue à fournir des évolutions majeures pour des produits qui ne sont plus au catalogue (cf. le firmware 2.0 sortir il y a quelques semaines sur le X100). Cette écoute du client a surtout permis à Fuji de bâtir sa gamme X en corrigeant et en ajoutant peu à peu les demandes des photographes. On peut considérer le X-E2 comme l’aboutissement de ces efforts. C’est aujourd’hui l’appareil le plus évolué technologiquement de la gamme (relire si besoins le comparatif des appareils de la gamme X). Le X-Pro1 , bien que disposant de fonctions plus riches (le fameux viseur hybride) repose sur un socle technologique qui a déjà deux ans. Au travers de mes premiers pas avec le Fuji X-E2, je vous propose donc de mesurer ce chemin parcouru.

Comparatif de la gamme Fuji X

Fuji a présenté le X100 début 2011. Il aura fallu attendre presque un an pour voir sa déclinaison hybride, le X-Pro1, le temps de développer les premiers objectifs de la gamme. Avec ces deux appareils, Fuji a souhaité lancer une nouvelle gamme aux caractéristiques techniques avancées et au look vintage en phase avec l’air du temps. En choisissant de commencer par la sortie des fers de lance de la gamme, la marque a voulu tester son concept en s’adressant aux utilisateurs les plus exigeants, les amateurs éclairés et les professionnels, sans oublier les prescripteurs que sont les magazines et blogs photo, toujours friands d’innovation et de beau matériel. Le succès de ces deux premiers essais a conforté Fuji dans son objectif de décliner une gamme complète et en moins de deux ans, ce sont pas moins de 10 modèles supplémentaires qui ont été ajoutés à la gamme.

Back to the 70’s avec VSCO Film

Kodak Portra 400 NC +

Peut-être par nostalgie de ma période argentique, période forcée car il n’existait pas d’autre photographie. Peut-être à cause d’Instagram, Camera+, Eyeem et les filtres iphonographiques. Peut-être parce que je vois partout des reportages de mariages aux couleurs des années 70. Peut-être parce que j’avais envie de tester de nouvelles pistes, pour rompre le cycle d’une créativité moribonde. Des prétextes pour acheter un pack VSCO Film.

C’est la récente actualité concernant VSCO qui m’a amené à regarder de plus près ces packs repérés ça et là lors de tests d’utilisateurs enthousiastes. En effet VSCO vient de sortir une nouvelle version de leur App pour iPhone : VSCO cam. Il s’agit plus exactement d’une nouvelle App. Je ne vais pas passer en revue le détail de cette App, je vous renvoie vers l’excellent icommephoto.com pour un test complet. Et puis vous pouvez l’essayer pour vous faire votre propre opinion, elle est gratuite. Je peux simplement dire qu’elle va certainement devenir mon App favorite pour faire des photos sur iPhone. Non seulement l’ergonomie et le design (un flat design réduit au minimalisme le plus extrème) sont exemplaires, mais elle propose en plus des outils de développement classiques, des versions adaptées des fameux filtres VSCO. Elle va également permettre l’accès au système de portfolio en ligne VSCO Grid qui va être lancé tout prochainement.

Fermons la parenthèse.

Les packs VSCO Film comme leur nom le laisse entendre proposent de fournir des presets pour reproduire des films argentiques. Alors que les packs 01 et 02 remettent au goût du jour des grands classiques plus ou moins récents, le pack 03 est consacré aux films instantanés. Ces packs sont disponibles pour Lightroom 4, Aperture 3 et Adobe Camera Raw 7 (CS6) – à acheter malheureusement séparément.

ONA Brixton : un chic sac !

Ona Bags fait partie de ces nouvelles marques chics et branchées. Surfant sur la vague du vintage, ces marques ont néanmoins retenu les leçons du marketing high-tech – on pense à Apple. Le produit doit se faire désirer pour devenir un besoin vital, irrationnel. On le voit, on le veux. C’est cher ? Oui c’est cher mais on nous promet la qualité et ce petit plus qui vous rend unique parce que vous possédez “l’objet”. Cependant, l’image d’un produit ne fait pas tout, il doit remplir le contrat sous peine de passer de la gloire à l’oubli illico. En bon client (bonne poire serait plus juste) de ce genre de marques, le sac Brixton m’a tapé dans l’œil. Voyons s’il mérite le désir qu’il inspire.

Le Fuji X100 sur le terrain

Assez parlé technique. J’ai déjà donné mes premières impressions et aussi quelques astuce pour être plus efficace avec le X100, mais ce qui compte avant tout, c’est ce que l’on en fait. Rien de mieux qu’une escapade d’un week-end pour un test sur le terrain. Place aux images.