Bruxelles, moment 3 : L’Atomium

Cet article fait partie d’une série, Bruxelles en 3 moments. Trois articles sur trois lieux très différents de Bruxelles. Trois explorations photographiques, rapportées d’un long weekend à Bruxelles.

D’accord, vous avez l’impression que je vous arnaque. J’avais promis des endroits qui sortent des sentiers battus et nous voilà à la tour Eiffel de Bruxelles. Explications. Bien que figure symbolique de Bruxelles, voire de toute la Belgique, et site le plus visité du pays, les avis des visiteurs de l’Atomium restent mitigés (il n’est que le 6e site préféré de Bruxelles sur TripAdvisor). J’avais donc envie de me faire ma propre opinion.

Bruxelles, moment #2 : Kumiko izakaya

Cet article fait partie d’une série, Bruxelles en 3 moments. Trois articles sur trois lieux très différents de Bruxelles. Trois explorations photographiques, rapportées d’un long weekend à Bruxelles.

Doit-on se nourrir exclusivement de paëlla à Barcelone, de burgers à LA ou de nems à Hanoï ? À Bruxelles, vous pouvez opter pour la cuisine locale, au  » C’est Bon c’est Belge » par exemple. Mais pourquoi ne pas tenter des gyozas ? Direction le Kumiko avec une promesse : vous faire découvrir les meilleurs de la ville. Le Kumiko est ce que l’on appelle au Japon un izakaya, un établissement qui se rapproche du pub anglais. C’est un bar dans lequel on peut commander quelques plats que l’on partage autour d’une bière. En cela, le kumiko respecte parfaitement la formule.

Bruxelles en trois moments

Vendredi, 21 heures. Nous quittons l’agitation frénétique de la Gare du Nord pour embarquer dans l’atmosphère feutrée du Thalys. Deux heures plus tard, une autre atmosphère tout aussi feutrée, mais bien plus accueillante : le Poechenellekelder. Une Moinette m’invite de sa robe dorée à la première gorgée de bière.

Paris-Bruxelles est un saut de puce et pourtant, le dépaysement est là. Bruxelles, c’est un peu Londres dont les habitants seraient des Irlandais francophones. Oui, Londres, car l’architecture et l’atmosphère de la ville me paraissent semblables. Et puis, on y retrouve ce sens de l’accueil, la gentillesse et la proximité qui m’avaient tant plu en Irlande, l’avantage de la langue française en plus.