Je suis allé au Château de Versailles. C’est un endroit à la fois étrange et familier. Parce qu’il est un passage obligé des cours d’histoire de tous les petits élèves français, il appartient à l’imaginaire collectif. Sublimé par l’image rayonnante que l’on donne du roi Soleil, les enfants que nous avons été voient Versailles comme un endroit un peu magique. Cette image a traversé les frontières et tout visiteur étranger qui se rend en France se doit d’y aller. C’est aussi pour cela que c’est un lieu étrange. Le château est devenu un musée et un musée quelque part tient un peu du sépulcre. Un lieu transformé pour le visiteur, organisé pour le recevoir mais qui a pour cela du vendre une partie de son âme. A Versailles, les touristes sont plus visibles que le château, c’est la rançon de sa gloire passée.
Étiquette : Humeur

Ce dimanche matin a un air printanier. Et même si la chaleur du soleil ne parvient pas à faire oublier le vent glacial, l’idée d’une escapade vient tout naturellement. Justement, mon frère me propose de l’accompagner avec ses amis à une brocante. Non pas la brocante de village habituelle, celle où l’on trouve par douzaines des tasses orphelines, des assiettes aux décors improbables ou des vêtements que même Cloclo refuserait de porter aujourd’hui. Rien de tout cela ici. Le petit village où nous nous rendons devient l’espace d’une journée le rassemblement des amateurs de tôle souvent froissée et de mécaniques toujours cahotantes, un rassemblement d’amateurs de voitures anciennes.
La manifestation est modeste mais l’enthousiasme n’en est pas moins là, et les visiteurs se pressent devant les quelques modèles exposés de chaque côté de la rue. Nous nous attardons juste ce qu’il faut pour ne pas être congelés sur place et rejoignons le lieu de la brocante. Les moins chanceux des exposants ont hérité d’un stand en plein air. On mesure ici toute la passion de ces marchands amateurs qui tapent des pieds et soufflent dans leur main en attendant l’acheteur providentiel. Ici, tout ce qui peut se rapporter de près ou de loin à l’univers de l’automobile peut se trouver. En témoigne cette collection de panneaux indicateurs au milieu desquels trône un matelas pneumatique Fina des années 70 (notez la mise en scène à la fois coquine et républicaine).
Après un rapide tour, nous nous pressons comme beaucoup vers l’intérieur de la salle de sport. Ici l’ambiance est plus animée, les travées d’exposant remplissent la salle et la relative chaleur n’est pas pour rien dans ce regain d’animation. Il faut être connaisseur et savoir ce que l’on cherche pour s’y retrouver dans ce capharnaüm d’objets : pièces mécaniques, phares, roues, ampoules, manuels mécaniques, bidons d’huile, compteurs, fusibles, boutons en tout genre, poignées de porte, voitures miniatures, affiches publicitaires, porte-clés, etc, etc.
Mon frère qui cherchait des enjoliveurs pour sa dernière acquisition n’a pas trouvé son bonheur, il faut dire que rien n’est étiqueté et que la plupart des objets sont empilés sans ménagement. En une heure nous avions fait le tour, direction le bar pour un vin chaud salvateur.
Au retour, nous passons déposer chez lui un des amis de mon frère. C’est un jeune dans la vingtaine qui perpétue la passion de son père pour les tracteurs anciens. Ils en ont plusieurs dizaines (centaines peut être) qu’ils vont chercher aux quatre coins d’Europe et qu’ils restaurent. Il nous montre quelques exemplaires de sa collection dont ce Case de 1906 entièrement restauré (il ne restait que le moteur et le châssis) et le seul exemplaire encore roulant.
De retour en région parisienne, j’ai conscience que cette matinée est de celle qui font les bons souvenirs, les souvenirs que l’on n’oublie plus. Le fait d’avoir partagé un moment avec mon frère, que je ne vois pas souvent y est pour beaucoup. Celui d’être au contact de la vie provinciale aussi, tellement j’ai perdu ce lien avec ces réalités si éloignées des artifices de la vie citadine. Tout simplement d’être parmi les miens. Mais il me semble aussi que la rencontre d’autres passionnés et la partage de leur passion joue pour beaucoup. Je réalise à quel point la passion que j’éprouve pour la photographie a quelque chose d’universel avec tous les passionnés quelqu’ils soient. Réussir à transmettre sa passion même lorsqu’elle touche quelqu’un qui y est à priori étranger rend heureux aussi bien celui qui donne que celui reçoit. La découverte de cet univers, de ce passionné de tracteurs anciens, du partage de quelque chose qui m’était inconnu a été un moment unique et merveilleux.
Quelques liens pour prolonger la lecture :
- Les vieux Mercedes de mon frère : De rouille et d’huile
- Une interview du collectionneur de tracteurs (malheureusement faite de nuit…) : Cyril Gémard

Entre la Frette et Herblay, on peut longer la Seine sur les rives aménagées, celles qui ont vu les plus grands maîtres de l’impressionnisme produire des chefs d’oeuvre à la pelle. Ici, les rives de la Seine sont abruptes et le chemin que l’on emprunte est tracé sur des espaces verts en bordure de la route qui surplombe. Cette route, ou plutôt cette rue marque ainsi la limite entre la ville et la nature.
Un appareil photo en poche, on peut se prendre pour Pissaro ou Daubigny et céder à la tentation de "la photo de paysage bucolique". Les sujets ne manquent pas : les berges du fleuve, les péniches, les roseaux, les saules, les oiseaux. Clic (juste pour signaler que le X100 fait juste un petit clic et pas un grand clac), les roseaux sont dans la boite. Et après ? Les canards ? Avez-vous remarqué avec quelle frénésie les canards attirent les photographes amateurs, comme si ces bestioles avaient un pouvoir hypnotisant sur tout porteur d’appareil passant à portée d’aile. Le canard est au photographe ce que la Sirène est au marin, un appel irrationnel au suicide photographique.
Un vendredi off, c’est un peu comme un de ces fameux Jeudi. Une journée que je peux entièrement consacrer à la photo et cela faisait bien longtemps. Je vais pouvoir en profiter pour tester quelques petites choses et la première de toutes ma motivation. J’ai très peu publié ces dernières semaines, que ce soit des images ou même des articles de blog. Peut être à cause de cette impression d’être arrivé au bout de quelque chose. Déjà vous dites-vous ? Oui, déjà, j’ai la faculté à épuiser assez vite mon énergie et ma motivation… Si les dernières sorties photo n’ont pas donné grand chose c’est en grande partie parce que l’inspiration créatrice (désolé pour ces gros mots) n’était plus vraiment là. Lors de mes dernières balades, mes yeux ne voyaient plus, les sujets me paraissaient tous banals et déjà vus. À quoi bon prendre en photo des passants qui marchent, des touristes assis aux terrasses. Ces images je les vois par centaines sur le web et elles ne me font rien, juste un grand vide d’émotion. Je les regarde avec le regard bovin d’une charolaise voyant passer toujours les mêmes trains au bout de sa prairie. Alors, si je ne peux plus les voir ces images, pourquoi être assez bête pour en faire moi même et les proposer au regard des autres. Bon, faute de mieux il m’arrive d’en proposer aussi, comme une ou deux dans cet article par exemple.
Je suis allé voir l’exposition de Joël Meyerowitz à la MEP et cela n’a pas vraiment arrangé mes affaires. Ce type à une vision qui transperce le réel, je veux dire par là qu’il voit les choses que le commun des mortels n’aperçoit même pas. Comment oser reprendre un appareil après ce choc et prétendre faire de la photo dans la rue (je ne parle même pas de “photo de rue”).
Et bien si justement, cela ne doit pas empêcher de continuer, d’essayer, même si c’est pour ne jamais réussir. Et cela pour plusieurs raisons.
- Vouloir égaler ses modèle relève d’une sacré prétention. La prétention ne peut être un moteur pour réussir, l’ambition peut-être, l’humilité encore plus sûrement.
- Pour devenir le photographe reconnu qu’il est aujourd’hui, Meyerowitz a passé le plus clair de son temps à photographier. Des jours entiers à arpenter les rues, certainement des dizaines de milliers de photo qui lui ont permis de bâtir son œuvre en extrayant la crème de la crème.
- Mais la vrai question est plutôt celle du but que l’on recherche. Est-ce mon objectif de devenir un grand photographe ? Évidemment non et même pas un professionnel ordinaire. Alors pourquoi essayer de mesurer le chemin qui me sépare de professionnels voire d’artistes ? Cela n’a aucun sens.
Ce que j’essaie de faire est à la fois plus simple et plus compliqué. Plus simple dans le but recherché car j’essaie simplement de faire des images qui me plaisent (à moi déjà), progresser et avoir la satisfaction que j’y ai mis suffisamment de coeur pour que cela se voit dans le résultat. Mais c’est aussi plus compliqué car pour arriver à un résultat à la hauteur de ses espoirs, il faut tenter, essayer, trébucher, se relever, réessayer… Une énergie à déployer qui demande de tout donner à sa passion, à commencer par son temps. Mais comme je le disais il y a quelques jours, je pratique une photo au ralenti avec une passion raisonnée. Peu de sorties, peu de photos, peu de résultat, peu de progrès : l’équation est simple. Enfin, je ne vais pas y revenir. J’ai déjà tout dit dans cet article et aussi combien cela m’allait très bien.
Quittons cette divagation philosopho-photographique pour revenir à mon vendredi off. J’ai décidé de laisser mon fidèle X100 dans le sac et tenter à nouveau de photographier des gens avec mon 5DII et le 17-40 f/4. Une configuration qui ajoute à priori de la difficulté car beaucoup moins discrète pour approcher les gens. Mais ce que je clame haut et fort depuis des mois (comme tous les photographes qui s’essayent à la rue) n’est pas totalement exact : en réalité le besoin de discrétion est un leurre pour cacher sa difficulté à approcher les gens. Car de toute façon les gens vous voient les photographier, que ce soit avec un petit compact ou un gros reflex. En ayant pris de l’assurance je m’aperçois que j’arrive maintenant à approcher les gens aussi facilement (ou aussi difficilement) que ce soit avec mon 5D ou mon X100. Je dirais même que le 5D a l’avantage de vous faire passer pour un touriste car vous l’aurez remarqué, tous les touristes à Paris ont des réflex de folie avec des zooms de pros. Cependant le X100 aura toujours un avantage côté pratique par son faible encombrement qui permet de l’avoir toujours sur soi et surtout de pouvoir le sortir sans se faire remarquer si une occasion se présente et lorsque la photo nécessite une approche discrète.
Mon test de ce vendredi off avec le réflex m’a également rappelé une dure réalité du X100 : son autofocus. Il est clair que j’ai fait quelques clichés avec le 5D que je n’aurais pas réussi avec le X100 à cause de son autofocus de compact. Déclencher à la volée avec le 5D est un vrai plaisir et permet de tenter des images dans toutes les situations. La photo du livreur par exemple aurait certainement été impossible avec le X100. Je ne renie pas mon Fuji pour autant car il m’apporte des sensations toutes différentes : c’est mon compagnon de tous les jours, celui qui me donne envie de photographier, celui qui m’a donné mes meilleures images ces derniers mois. Dire si j’attends de tester le X100s avec impatience est une évidence : j’imagine mon X100 gagner un autofocus à la hauteur de mon réflex (ou presque, je ne rêve pas non plus). Le bonheur.
Pour accompagner cet article très décousu, voici les quelques images que j’ai pu collecter. Et en plus, avec de la couleur. Car si je fais essentiellement des photos de rue en noir et blanc il arrive que la couleur soit une évidence pour certaines images. C’est le cas chaque fois que la couleur fait partie intégrante de la photo, lorsqu’elle en est le sujet. Pour toutes les autres images, le noir et blanc s’impose.
Chacun a une pratique de la photographie qui lui est toute personnelle. Je connais des photographes amateurs qui enchaînent les séances, publient chaque jour des photos, s’essayent à tous les sujets et toutes les techniques. Ils sont l’idée même que l’on peut se faire d’un passionné de photo, celui qui vit sa passion en la pratiquant en mode continu.
Economie de production
Pour moi, les choses sont très différentes. Je pratique une photographie très peu productive. En 2012 ma bibliothèque Lightroom affiche au compteur 3123 images dont la moitié sont des images faites pendant les voyages ou les vacances. Forcément, cette économie de production de matériel brut a un conséquence sur le nombre d’images réellement présentables : 25 photos en 2012 (images publiées sur mon compte 500px). Oui en une année je n’ai réellement fait que 25 photos car on peut oublier les 3098 autres qui n’ont été que des essais ratés ou au mieux des photos souvenirs.
Bien sûr on pourra dire que je suis trop sélectif. Je pense qu’on ne l’est jamais assez : diffuser les images de sa dernière séance sous le coup de l’émotion du moment est une erreur que font beaucoup de photographes débutants. Cela finit par noyer leurs bonnes images au milieu d’un magma qui dévalorise leur travail. Pour ces photos du quotidien, un article blog est le meilleur moyen de les montrer. Pour ma part j’utilise également Flickr pour ce genre de photos et réserve 500px ou la section portfolio de mon site pour mon « vrai » portfolio. Un exemple avec cette image :
C’est une photo résultat de tests de post traitement que je n’ai diffusé que sur Flickr. Car même si le résultat me plait bien je n’ai pas jugé qu’elle avait sa place dans mon portfolio. Elle est très différente des images que je fais habituellement et n’aurait mérité d’y figurer que si je développais une série de photos similaires qui formeraient un vrai projet « montrable ».
Economie de pratique
Mon économie de production se manifeste aussi par une économie de pratique. Je peux être deux semaines sans faire une seule image. Et lorsque je fais une sortie, je dépasse rarement les 30 à 40 prises de vue, chaque sujet n’ayant droit qu’à deux ou trois déclenchements au maximum. Enfin, au retour à la maison je ne me jette pas sur ma carte mémoire pour charger, traiter, montrer ce que j’ai pris. En ce moment par exemple, j’ai une série de photos urbaines de nuit qui est dans mon 5DII depuis plus de 10 jours.
En réalité il faut que je sois en condition « d’inspiration » pour prendre des photos mais il faut également que ce même état se manifeste pour que j’ai envie de traiter mes images. Après tout, cela tient de la même démarche globale, la photo n’est pas terminée à la prise de vue et il faut avoir envie d’aller plus loin (être dans les bonnes conditions) pour transformer l’essai photographique en image visible.
Passionné ?
Et pourtant, la photographie tient une place très importante dans ma vie. Il ne se passe pas un jour sans que je pense photo, discute photo, vis photo… Je peux dire que ma passion est une passion raisonnée et économe. Si elle est peu démonstrative, cette passion est quand même là, encrée en moi. Je ne fais d’ailleurs aucun complexe par rapport à cela ou par comparaison au type standard de passionné que je décrivais en introduction. D’ailleurs je ne pense pas que la compétition fasse partie du jeu en photographie.
Au final, je vais certainement passer pour un photographe à la petite semaine. C’est peut être ce que je suis, mais cela m’est complètement égal. C’est le rythme qui me convient et en tant que photographe amateur, rien ne m’oblige à produire toujours plus. Chacun doit vivre sa passion comme il l’entend, il n’y a pas de standard et on ne doit surtout pas subir la pression de l’entourage. L’important est de trouver son rythme, sa voie et peu importe s’il me faut encore 20 ans avant de pouvoir disposer d’un portfolio qui tienne la route. Au quotidien, cette pratique me convient.
La photo est une pratique solitaire. A toutes les étapes le photographe joue souvent seul. D’ailleurs, j’ai beaucoup de mal à concevoir la photo collective. Même au sein des collectifs photos, il me semble qu’il s’agit plus souvent d’addition d’individualités que de véritable travail collaboratif. On peut jouer de la musique en groupe, on peut même écrire à plusieurs, mais faire une photo à quatre mains me parait improbable.
J’ai fait le constat que je n’arrive à être réellement créatif que lorsque je photographie seul. Les photos que je prends lors de mes balades entre amis le weekend sont le plus souvent le fruit du hasard des rencontres plutôt qu’une vraie démarche de photographe. C’est pour cette raison que j’aime parfois prendre des journées en semaine, pour faire une balade en solitaire. Rappelez-vous, j’ai déjà avoué que j’aimais photographier le jeudi. Etre seul est d’autant plus nécessaire lorsqu’on essaie de photographier dans la rue : il faut prendre son temps, être aux aguets, ne pas hésiter à rester de longues périodes au même endroit. C’est tout sauf une attitude sociale normale, impossible à concilier avec une balade avec des gens. C’est aussi pour cette raison que j’ai beaucoup de réticence à participer à des sorties photo en groupe (même si je ne renonce pas à tester de temps en temps).
Je n’ai pas l’habitude de raconter ma vie sur ce blog, il y a des sujets plus intéressants. Mais il faut bien l’accepter il est des moments où on ne peut plus cacher certains aspects de sa personnalité. Mes écrits me trahissent, je le sais et je sens dans mon dos les questions qui se posent à mon sujet. Ou plutôt au sujet de ce que je veux vous confesser. Car comme beaucoup d’autres personnes atteintes par cette singularité, en parler est comme un aveu au tribunal. Même si parmi mes juges certains sont aussi comme moi, ils n’osent se l’avouer préférant nier plutôt que de subir les foudres des accusateurs. Il faut que je me jette à l’eau. Je l’avoue, je suis…

Ma bibliothèque lightroom est pleine de bonnes photos. Des photos bien meilleures que toutes celles que vous avez pu voir dans mes galeries. Vous vous dites que je suis vaniteux, prétentieux, vantard, mythomane, hâbleur, matamore voire bonisseur ? Vous ne demandez qu’à voir ? En réalité si vous n’avez jamais vu ces photos c’est qu’il y a une bonne raison : elles sont ratées. Oui, mes meilleurs photos sont celles que j’ai ratées.

Un grand week-end pour faire des photos, du soleil, des sorties, de l’envie. Tout était au rendez-vous pour ramener des images intéressantes. Mais…Depuis que jai commencé à photographier des gens, j’avoue que les moments de désillusion sont plus fréquents que les succès. La faute à mon manque naturel de culot et à une maîtrise très imparfaite du « délicat » X100. Je ne m’apitoie pas plus longtemps sur mon sort qui est – si j’ai bien compris – le lot quotidien de ceux qui se frottent à ce type de photographie.
Au retour à la maison, chargement du tout dans Lightroom pour voir si par hasard une image n’aurait pas échappé au désastre. Je réussis à sauver ce cliché du naufrage photographique de la session. Et puis je tombe sur cette image :
Franchir les portes d’un musée, un appareil photo à la main, est toujours une grande aventure : on ne sait jamais vraiment à quelle sauce on va être croqué. Les trois expériences très différentes auxquelles j’ai été confronté ces dernières semaines illustrent assez bien l’absurdité des règlements appliqués avec plus ou moins de zèle par le personnel d’accueil (oui, même un accueil mauvais est un accueil). Et si je parle d’absurdité c’est parce que dans la majorité des cas ces restrictions sont totalement contre-productives pour les musées eux-mêmes.